Fils De Pablo Escobar

SÉRIE - Quelques semaines après la sortie de la deuxième saison de la série Netflix "Narcos", Sebastian Marroquin, fils de Pablo Escobar et adepte des révélations inédites sur sa famille, a partagé ses impressions sur la série, mentionnant les erreurs qu'il a déterrées et les faits qu'il dit infidèles à la réalité. Ces erreurs, selon Marroquin, doivent être mises à nu, autrement, elles porteraient atteinte à l'histoire d'une nation et pourraient nuire aux victimes et aux familles. ATTENTION SPOILERS Cet article raconte la saison 2 de la série Vous êtes vraiment sûr de vouloir savoir? Alors, c'est parti. Le désormais quasi quadragénaire a publié un poste Facebook pour pointer du doigt ces erreurs: Parmi les erreurs mentionnées par le fils du parrain, voici une sélection des plus intéressantes: Carlos Henao était son oncle maternel et n'était pas un narcotrafiquant La fuite de La "Catedral" n'était pas aussi sanglante, un seul gardien a trouvé la mort et Escobar n'a pas été aidé par les autorités.

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» Lui n'en a connu qu'une, Andrea, artiste et publicitaire, rencontrée à l'adolescence et qui l'a toujours suivi. Ils ont un petit garçon de 4 ans. Juan Pablo soupire: «Si tout le monde me fermait les portes, qu'est-ce qu'il me resterait? Le trafic. Je sais comment ça marche. Mais je ne veux pas qu'à ma mort, mon fils soit obligé d'aller négocier sa survie auprès des cartels, comme moi j'ai dû le faire. » 24 février 1977: naissance à Medellín (Colombie). 2 décembre 1993: mort de Pablo Escobar. 2009: apparaît dans le documentaire les Péchés de mon père. Septembre 2017: parution de Pablo Escobar, mon père (Hugo & Cie). Quentin Girard Photo Patrick Swirc

La CIA n'a pas proposé aux frères Castaño de fonder "Los Pepes" La femme d'Escobar n'a jamais utilisé, ni acheté une arme. Escobar n'a pas tué le colonel Carrillo de ses propres mains "Leon" n'a pas vécu aux États-Unis, il a toujours été loyal à Escobar Escobar n'a jamais menacé la ville de Cali La mère d'Escobar a trahi son fils et s'est alliée avec ses autres fils et filles contre lui pour l'argent. C'est en 2009 que Sebastian Marroquin un architecte de 32 ans, révèle sa véritable identité. Il s'appelle Juan Pablo Escobar et est en fait le fils de Pablo Escobar, le parrain des parrains de la ­cocaïne en Colombie, décédé en 1993, tué par la police. Révélations sur son enfance Dans une interview faite par Paris Match en 2009, Sebastian Marroquin est revenu sur son passé et celui de sa famille. Il a aussi présenté ses excuses aux familles colombiennes auxquelles son père a causé des torts irréparables. En sortant de l'ombre, le fils d'Escobar a voulu soulager la douleur qui a longtemps touché la Colombie et se réconcilier avec son pays.

» Escobar venait de Medellín, rien à voir, et il a été tué le 2 décembre 1993 et, à la télé, à la fin de la saison précédente. Dans la série, le bandit est abattu sur un toit par l'armée et la CIA. Son fils a une autre version. Il est persuadé que «papá», touché par les balles, a préféré hâter sa mort en se suicidant. Il n'insiste pas trop, il sait bien que le succès de Narcos contribue à celui de son livre, publié légèrement avant en espagnol, et vendu à 250 000 exemplaires. Quand on lui demande s'il ne profite pas du nom de son père pour gagner de l'argent, Juan Pablo n'hésite pas une seconde: «Bien sûr. Mais je suis son fils, qui en a le droit plus que moi? Pas Netflix ou Hollywood. » Quelques années plus tôt, il avait déjà lancé une ligne de tee-shirts à l'effigie de son paternel agrémentée de slogans pour la paix pour vendre le tout. Le nom Escobar, c'est quelque chose. L'ensemble de la famille se le dispute, à l'image de son oncle Roberto, lequel réclame la somme folle d'un milliard de dollars à Netflix.

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Juan Pablo réalise un documentaire sur "El Patron", Les Péchés de mon père. En le présentant en Colombie, il rencontre des familles de victimes d'Escobar, dont les enfants du ministre de la Justice (tué en 1984) et ceux du candidat à la présidentielle Luis Carlos Galan (assassiné en 1989). "Je leur ai demandé pardon pour le mal causé par mon père. Ils m'ont dit que j'étais moi aussi une victime de la violence en Colombie. "

Selon le parquet, le fils de Pablo Escobar a touché une commission en tant qu'intermédiaire dans une opération immobilière, quand un trafiquant de drogues colombien, José Piedrahita Ceballos, a acheté une propriété à Pilar, près de Buenos Aires. Pablo Escobar était à la tête du cartel de Medellin et un des hommes les plus riches du monde, selon Forbes, avant d'être abattu lors d'une opération policière en 1993.

Les deux ne sont pas en très bons termes. Au moment de la mort du patriarche, le reste de la famille a abandonné Juan Pablo, sa sœur et sa mère aux mains des cartels qui les ont dépouillés, affirment-ils, de tout leur argent. Lorsque le fils refusa au début de capitaliser sur son nom, Roberto fit parader un «clone» dans les médias qui s'accapara un temps son identité. Il y a chez les Escobar quelque chose des Buendía de Gabriel García Márquez. Les mêmes noms se superposent, s'opposent et se mélangent au point qu'on ne sait plus parfois qui est qui. Tous seront condamnés à cent ans de solitude. Pendant des années, Juan Pablo a tenté de se détacher de lui-même, devenant architecte d'intérieur à Buenos Aires, en Argentine, où sa mère, sa sœur et lui ont trouvé refuge et où ils vivent toujours. Le rejeton a changé d'identité et se fait désormais appeler Sebastián Marroquín. En exil, ils ont dû apprendre à gagner leur vie. Petit, el niño n'était jamais allé seul au McDo ou dans un magasin. Mais le passé ne s'efface pas.

Le fils de Pablo Escobar dévoile 28 erreurs sur la saison 2 de "Narcos" | Le HuffPost

© Wikimedia Commons/Colombian National Police A l'apogée de sa puissance, le notoire patron du cartel de Medellin pouvait gagner jusqu'à 420 millions de dollars par semaine selon les estimations, faisant de lui l'un des plus riches barons de la drogue de l'histoire. Escobar, surnommé "le roi de la cocaïne", a vu sa richesse croître si fortement qu'il a caché des liasses de billets dans les champs de fermiers en Colombie, dans des entrepôts vétustes et dans les murs des maisons des membres de son cartel. C'est ce que raconte son frère Roberto Escobar, le comptable en chef et cheville ouvrière du clan, dans son livre " The Accountant's Story: Inside the violent world of the Medellín cartel ". "Pablo gagnait tellement d'argent que chaque année nous déduisions 10% comme perdu, car il pouvait être dévoré par les rats dans les entrepôts, détruit par l'eau ou simplement perdu", écrit Roberto Escobar. Cela représentait environ 2, 1 milliards de dollars, au vu de sa richesse supposée alors. Escobar avait tout simplement tellement d'argent qu'il ne savait quoi en faire.

Pablo Escobar (photo non datée). AFP Aujourd'hui, le fils du trafiquant de cocaïne consacre une partie de sa vie à donner des conférences, jusqu'au Mexique, afin de sensibiliser la jeunesse aux dangers d'une carrière de délinquant. Comment se construit-on avec tel un père? "Je ne sais pas si je suis fou ou équilibré, mais je n'ai jamais eu besoin d'un psy. Mon enfance ne m'a pas traumatisé. Surtout, je ne veux pas jouer les victimes. " Il y aurait de quoi, pourtant. Cible, lorsqu'il était mineur, de cinq tentatives d'enlèvement, victime, aussi, d'un attentat à la bombe (une voiture piégée explose devant l'immeuble familial et le plafond de sa chambre s'effondre sur son lit), Juan Pablo participe à la première cavale de son père, au Panama, à l'âge de 7 ans, la peur au ventre, avec sa mère au bord de la crise de nerfs. Pourri gâté, Juan Pablo grandit dans une gigantesque hacienda proche de Medellín, comparable -mais en plus grand- au Neverland de Michael Jackson, avec cascades, lacs, jungle, montagnes, parc d'attractions et zoo privé peuplé d'animaux exotiques rares.

Résumé de l'épisode Après avoir vécu vingt ans sous une fausse identité en Argentine, Sebastián Marroquín, le fils du puissant patron du cartel de Medellin, sort de l'ombre pour raconter son histoire. Il évoque la Colombie, sa violence et le parcours incroyable et dramatique de son père. Sebastián Marroquín et sa mère ont accepté de partager des documents personnels, des lettres et des vidéos inédites pour évoquer l'intimité du trafiquant et en finir avec les légendes qui l'entourent. Casting principal Olivier Aghaby Realisateur

Monday, 02-Nov-20 16:46:11 UTC